Filigran, la start-up française de cybersécurité qui a tapé dans l’oeil du FBI | Les Echos
La jeune pousse, qui mise sur un modèle open source, vient de réaliser un tour de table de 15 millions d’euros mené par le fonds américain Accel. Elle collabore avec des grands groupes et des agences fédérales.Ajouter à mes articlesCommenterPartager
Par Adrien Lelièvre
Publié le 29 févr. 2024 à 07:43Mis à jour le 29 févr. 2024 à 09:06
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Les liens entre la France et le FBI sont anciens. C’est Charles-Joseph Bonaparte, petit-neveu de Napoléon Ier et deux fois ministre sous la présidence de Theodore Roosevelt, qui fonda l’ancêtre du service de renseignement intérieur américain en 1908.
Plus d’un siècle plus tard, les agents du FBI utilisent au quotidien les services de Filigran, une start-up tricolore de cybersécurité qui vient de boucler un tour de table de 15 millions d’euros mené par le fonds d’investissement Accel, avec le soutien de ses investisseurs historiques (Moonfire Ventures et Motier Ventures).
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